Groupe Spinelli au palmarès des meilleurs employeurs au Canada

C'est véritablement une grande année pour GROUPE SPINELLI : en plus de célébrer son 90e anniversaire en 2012, l'entreprise vient d'entrer dans le prestigieux club sélect des meilleurs employeurs au pays en se classant en 12e place au classement des 50 employeurs de choix au Canada. GROUPE SPINELLI côtoie ainsi des grands cabinets d'avocat internationaux et des multinationales telles que Cisco et les restaurants McDonald.

« Cette excellente nouvelle nous réjouit d'autant plus que le verdict est celui de nos employés, qui ont participé à l'étude d'AON Hewitt, explique Pierre Spinelli, président du GROUPE SPINELLI et petit-fils du fondateur de l'entreprise, Giuseppe Spinelli. Nous sommes extrêmement fiers de leur engagement, de leur loyauté et leurs compétences. Cette distinction est la preuve que notre gestion des ressources humaines répond aux besoins des professionnels de nos neuf succursales. »

Un palmarès crédible sur le plan national et international

AON Hewitt est un important cabinet de services-conseils en ressources humaines solidement établi dans 90 pays. Chaque année, il réalise une étude qui permet d'identifier les organisations au sein desquelles la mobilisation des employés est la plus élevée. Cette étude permet de mesurer la solidarité du personnel, la loyauté des individus et, dans une large mesure, la fierté et le sentiment d'appartenance à l'entreprise pour qui ils travaillent. L'étude de 2012 est la 14e du genre et près de 190 000 travailleurs de 280 employeurs canadiens y ont participé en répondant à un sondage d'une rigueur scientifique éprouvée.

Faire partie du classement des 50 employeurs de choix au Canada est une véritable consécration pour les organisations, quel que soit leur secteur. « Notre positionnement avantageux dans ce palmarès confirme que nous avons eu raison de privilégier un cadre de travail et un environnement de qualité, où chacun peut se réaliser. Et c'est ce qui nous réjouit le plus en tant qu'entreprise », conclut Pierre Spinelli.